Atelier national d’information et de sensibilisation sur l’enregistrement des exploitations agro-sylvo-pastorales, halieutiques et fauniques


La Chambre Nationale d’Agriculture (CNA) a tenu ce mercredi 15 décembre 2021 dans la salle de conférence du Ministère des affaires étrangères, un atelier d’information et de sensibilisation sur le processus d’enregistrement des exploitations Agro-sylvo-pastorales halieutiques et fauniques au Burkina Faso.
Cet atelier a eu pour objectif, d’informer les différents acteurs sur le processus et l’importance de l’enregistrement des exploitations mais aussi de susciter leur adhésion et leur collaboration effective pour sa mise en œuvre. Il a connu la participation de plusieurs acteurs du développement rural mais aussi la participation du président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture du Mali (APCAM), M. Sanoussi Bouya SYLLA.

Pour M. Moussa Koné le président de la Chambre Nationale d’Agriculture, l’enregistrement des exploitations est une activité très importante pour les acteurs du monde rural. Car il participe à la professionnalisation et à la valorisation des métiers Agricoles toute chose qui est non seulement importante pour une meilleure contribution du secteur agricole à l’atteinte de la sécurité alimentaire et nutritionnelle mais aussi pour le développement socioéconomique du pays. Il a remercié l’Etat Burkinabé et les Partenaires pour leur appui accompagnement à mise en œuvre de l’enregistrement des exploitations.

C’est dans cette même lancée que le Président de l’APCAM a témoigné l’honneur qui lui a été fait à travers cette invitation au Burkina Faso pour prendre part à cet atelier. Il dit être venu à l’école d’apprentissage du mécanisme d’enregistrement des exploitations. Pour lui, la CNA est une pionnière en la matière avec une obligation de réussite pour cela fasse tâche d’huile au niveau des Chambres d’Agriculture sœur de la sous-région. Il a invité par l’ensemble des acteurs (Etat, PTF, producteurs) à s’investir pleinement pour la réussite du processus d’enregistrement. Car au-delà du Burkina Faso c’est tout le sahel qui en bénéficiera en raison du fait que 80% des populations sont des agriculteurs.

L’atelier a permis aux acteurs de faire des recommandations qui seront pris en compte pour la suite du processus.

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